La maison individuelle est le logement préféré des Français, qui plébiscitent largement ce mode de vie : près de 70% d’entre nous rêvent d’un pavillon avec jardin comme logement principal. Si vous faites partie des heureux élus qui sont installés dans une maison avec accès extérieur privatif, il est fort à parier que vous vous êtes posé une question : mais où donc entreposer la tondeuse à gazon, les outils de jardinage et les sacs de terreau pour vos platebandes ? La réponse est toute faite, il faut un cabanon comme abri de stockage. Ce n’est pas pour rien que les enseignes dédiées au jardinage mettent en évidence, dès l’arrivée sur le parking, les poulaillers et autres abris de jardin… Souvent assez chers par ailleurs, alors qu’il est tout à fait possible de construire soi-même une telle structure. Si vous faites le choix de la tradition avec le bois, suivez notre guide.
Quelle essence de bois choisir ?
En pin naturel ou en sapin, en cèdre ou en épicéa, voire opter pour des palettes en bois de récupération… Il existe plusieurs options, dont chacune possède ses propres avantages et ses inconvénients. Quoi qu’il en soit, opter pour du bois est à la fois dans la droite lignée des traditions du jardin, tout en étant résolument économique et écologique. Rendez-vous vers un professionnel pour trouver un menuisier à proximité de Nantes si vous souhaitez plus de détails sur le choix du bois à adopter pour votre projet de cabanon. C’est également lui qui pourra regarder si votre plan de construction est viable ou non.
Les fondations de l’abri de jardin
On n’y pense pas toujours lorsqu’on décide de construire ou faire bâtir une petite structure sur son terrain, mais le choix de l’aménagement du sol est primordial pour éviter toute catastrophe ultérieure. Il ne faut jamais le faire sur un sol nu, pour des raisons évidentes d’isolation à l’humidité et de stabilité de l’ensemble de la structure. Trois options sont possibles : le faire sur une dalle de béton préalablement coulée, ou bien utiliser des plots, ce qui est moins difficile, mais aussi plus fragile, puis enfin sur pilotis comme dernière possibilité mixte.
Un toit : avec ou sans pente ?
Au même titre qu’une maison moderne, il se pose la question du choix du toit à réaliser. Est-ce que le mieux serait de le faire avec une pente ou non ? La question est simple, tout dépend des conditions climatiques dans lesquelles vous êtes. Dans le sud, faire un toit plat se fait davantage que dans le nord, étant donné la moyenne du niveau de précipitations. Nous avons une préférence pour un toit traditionnel en pente, ce qui a un cachet particulier et plein de charme.
Faire revêtir l’ensemble
Deux écoles dans le revêtement d’abris de jardin sont possibles : opter pour ceux aisés à faire soi-même et plutôt peu onéreux, comme les panneaux en polycarbonates ou le fameux shingle (utilisé généralement dans les kits de montage), ou bien quelque chose requérant plus de technicité, à l’instar des tuiles traditionnelles.