Guide pratique pour bien choisir l’incubateur d’entreprise

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Depuis quelques temps, les structures qui permettent d’accompagner et d’héberger les start-up sont de plus en plus nombreuses. Ces dernières interviennent dans les étapes qui sont liées à la création et à la mise en place d’un projet spécifique. Aussi appelées incubateurs, couveuses ou encore pépinières d’entreprise, ces structures peuvent être présentes pour les nouvelles entreprises. C’est grâce à différents moyens que les incubateurs peuvent venir en aide aux start-up.

Comme les incubateurs sont en très grand nombre sur le marché, il est assez difficile de faire un choix judicieux. Les lignes ci-après vous livrent quelques conseils pour bien choisir l’incubateur pour votre entreprise.

Considérer le secteur d’activité pour choisir l’incubateur

Le choix de l’incubateur d entreprise doit être pris selon la nature du projet que vous souhaitez mettre en place. Cela dit, les pépinières d’entreprise ne sont pas toutes les mêmes et vous devez alors choisir celle qui peut s’adapter de manière optimale à votre future start-up. Il est possible de trouver des incubateurs qui se spécialisent dans un projet en particulier et d’autres qui peuvent intervenir dans tous les domaines.

Vous pouvez alors trouver un incubateur qui peut vous permettre de créer votre entreprise dans les nouvelles technologies, dans l’économie ou encore dans le secteur commercial. Pour ne pas choisir votre pépinière au hasard, vous devez vous renseigner sur les services que celles qui vous intéressent peuvent proposer avant de faire une sélection.

Considérer les critères d’admission

Il est tout à fait possible, lorsque vous posez votre candidature d’admission auprès d’un incubateur, d’être recalé. Pour éviter ce genre de désagrément, vous devez effectuer une vérification du fait que le projet respecte les critères d’admission. Sachez que le comité de sélection des incubateurs est composé en majorité de banquiers ou d’entrepreneurs.

Les pépinières d’entreprise prennent en compte du secteur d’activité, du porteur du projet et de son parcours, de l’avancée du projet ainsi que de la collaboration avec d’autres structures. Il est également important de savoir qu’il existe des incubateurs qui sont faits pour les femmes d’affaire et créatrices d’entreprise.


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Je m’appelle Maurice Lefèvre, j’ai 64 ans, et je passe mes journées à dénicher les plus beaux recoins du web francophone, comme d’autres collectionnent les vinyles ou les timbres rares. Je suis bibliothécaire-documentaliste à la retraite, reconverti en curateur numérique passionné. Mon bureau a changé : les étagères ont laissé place aux onglets, les fiches cartonnées aux signets de navigateur. Mais mon obsession reste la même : trouver ce qui vaut vraiment la peine d’être lu, vu ou exploré. C’est pour ça que j’ai fondé Ousurfer — un magazine en ligne dédié à la sélection exigeante, joyeuse et subjective des meilleurs sites du web francophone. Pas les plus gros, pas les plus tapageurs. Les plus curieux, les plus utiles, les plus brillants dans l’ombre. Je m’adresse à ceux qui aiment cliquer avec la même lenteur qu’on feuillette une encyclopédie ou qu’on ouvre une boîte oubliée au grenier. Je parle de culture, de savoirs, de forums nichés, de blogs indépendants, de projets en ligne sincères, de sites faits main. Je teste, je fouille, je vérifie, je classe. Et surtout, je raconte. Ce qui me rend unique ? Je suis aussi passionné d’horlogerie ancienne. J’adore démonter, comprendre, réassembler ces mécaniques délicates, où chaque engrenage a sa place et son rôle. Pour moi, le web, c’est pareil : un immense mécanisme, parfois chaotique, mais qui peut retrouver de la cohérence si on prend le temps de regarder chaque pièce dans le détail. 📌 Ce que vous trouverez sur Ousurfer : – Des sélections commentées des meilleurs sites web francophones : utiles, originaux, beaux ou intelligents – Des interviews de créateurs de sites passionnés – Des archives numériques oubliées mais précieuses – Des critiques de tendances web, avec recul et humour – Un ton doux, érudit, un brin nostalgique mais toujours enthousiaste Je crois qu’Internet peut encore être une bibliothèque vivante, si on sait où chercher. Ousurfer, c’est ma boussole dans cet océan vaste et désordonné. Bienvenue dans ma veille à l’ancienne. Une page à la fois.