Un drone : pour quoi faire ?

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Au sortir de la deuxième guerre mondiale, l’écrivain français Georges Bernanos pouvait reprendre une phrase de Lénine et intituler l’un de ses essais : La liberté, pour quoi faire ? Eh bien, nous avons donné le même titre à notre article, tant l’usage d’un drone semble avoir à voir, aujourd’hui, avec celui de la liberté.

Parmi tous les jolis petits joujoux que le high-tech nous donne d’apprécier facilement, le drone est l’un des plus intéressants et plébiscités, ne s’étant « démocratisé » que depuis quelques maigres années, notamment grâce à des acteurs tels que Drone&Fly. Voyons-en les principaux usages possibles.

Une utilisation professionnelle

Un drone de qualité, ce n’est pas donné. En effet, il s’agit d’un petit bijou de technologie alliant notamment autonomie, sécurité, fiabilité de pilotage et qualité des prises de vue.

Au vu de l’investissement que les drones représentant, il est donc logique que leurs premiers acquéreurs aient été des professionnels.

On trouve par exemple des agents immobiliers qui, pour agrémenter leurs annonces de belles photographies, utilisent des drones afin de se démarquer avantageusement de leurs concurrents. Nous pourrions ensuite évoquer le secteur du BTP, dans lequel le drone permet d’aller vérifier ou étudier facilement un détail en hauteur, difficilement ou coûteusement accessible par un être humain. Enfin, le drone a une place toute particulière dans le domaine de la sécurité, aussi bien publique que privée : il offre une surveillance discrète et efficace d’un lieu précis, ou donne encore la possibilité d’enregistrer les images de manifestations, ne serait-ce que pour compter les participants ou identifier a posteriori de potentiels délinquants.

Un usage récréatif pour les particuliers

Le temps passant, l’emploi des drones est de plus en plus encadré, notamment en milieu urbain. Leur multiplication et leur potentielle entrée en conflit avec des drones ou appareils gouvernementaux font qu’il y a des règles précises à respecter localement.

Quoi qu’il en soit, la détention d’un drone reste heureusement autorisé pour les particuliers, et cela ne devrait guère changer, d’autant plus qu’il s’agit d’un marché en pleine croissance et porteur, ce qui est toujours un atout en période de crise générale.


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Je m’appelle Maurice Lefèvre, j’ai 64 ans, et je passe mes journées à dénicher les plus beaux recoins du web francophone, comme d’autres collectionnent les vinyles ou les timbres rares. Je suis bibliothécaire-documentaliste à la retraite, reconverti en curateur numérique passionné. Mon bureau a changé : les étagères ont laissé place aux onglets, les fiches cartonnées aux signets de navigateur. Mais mon obsession reste la même : trouver ce qui vaut vraiment la peine d’être lu, vu ou exploré. C’est pour ça que j’ai fondé Ousurfer — un magazine en ligne dédié à la sélection exigeante, joyeuse et subjective des meilleurs sites du web francophone. Pas les plus gros, pas les plus tapageurs. Les plus curieux, les plus utiles, les plus brillants dans l’ombre. Je m’adresse à ceux qui aiment cliquer avec la même lenteur qu’on feuillette une encyclopédie ou qu’on ouvre une boîte oubliée au grenier. Je parle de culture, de savoirs, de forums nichés, de blogs indépendants, de projets en ligne sincères, de sites faits main. Je teste, je fouille, je vérifie, je classe. Et surtout, je raconte. Ce qui me rend unique ? Je suis aussi passionné d’horlogerie ancienne. J’adore démonter, comprendre, réassembler ces mécaniques délicates, où chaque engrenage a sa place et son rôle. Pour moi, le web, c’est pareil : un immense mécanisme, parfois chaotique, mais qui peut retrouver de la cohérence si on prend le temps de regarder chaque pièce dans le détail. 📌 Ce que vous trouverez sur Ousurfer : – Des sélections commentées des meilleurs sites web francophones : utiles, originaux, beaux ou intelligents – Des interviews de créateurs de sites passionnés – Des archives numériques oubliées mais précieuses – Des critiques de tendances web, avec recul et humour – Un ton doux, érudit, un brin nostalgique mais toujours enthousiaste Je crois qu’Internet peut encore être une bibliothèque vivante, si on sait où chercher. Ousurfer, c’est ma boussole dans cet océan vaste et désordonné. Bienvenue dans ma veille à l’ancienne. Une page à la fois.